The Perfec Men

Personnage

Prénom : James
Nom : Nighty
Statut ~ Vampire, Humain, Loup-Garou ~ : Sorcier en affinité avec la nature
Statut sociale ~marié,celibataire~ : Célibataire, pour le plus grand plaisir des filles

E T D A N S M A V I E ?

Mon histoire commence bien avant ma naissance, mais il sera plus simple pour vous de comprendre par la suite. Pour tout vous dire, elle commence à Londres, dans une famille d'aristocratique de sang pur qui vivait au cœur de Londres. Les mariages consanguins étaient courants. Ils tenaient fermement à garder la pureté de leur ligné.

Eliza est mon arrière je ne sais pas combien grand-mère. Elle était née à Londres et à toujours était élevée dans le but de faire une bonne épouse, cultivée, mais incapable de pensée véritablement par elle-même. Elle se savait promise à son propre cousin. Ah son cousin ! Quel homme ! Je ne connais pas son nom, mais il est parait qu’il était un dandy d’un goût tout à fait exquis. Il savait plaire et séduire les femmes. Eliza ne se sentait pas à la hauteur et voulant lui plaire, elle prit la décision d’avoir une relation extraconjugale pour être certaine de le satisfaire dans ses devoirs. Enfin, c’est ce qu’elle a dit. Ce qui est étrange, c’est que sa relation s’est passée après la nuit de noce, juste après. Je pense donc que ce lord était tout simplement un mauvais coup au lit et qu’elle voulait prendre un peu de plaisir. Je ne vois pas trop où est le mal. Mais pour eux, il était très mal vu d’avoir une relation extraconjugal, je les comprend, moi jamais je ne pourrais tromper la femme de ma vie ! Cependant si elle le faisait, je lui pardonnerais. Son cousin était de mon avis, car il l’accepta comme sa propre fille, en effet c’était un grand homme et j’ai l’intention de prendre exemple sur lui et il la nomma donc Alicia. Il l’aimait plus que tout.
Mes grands parents étaient très ouverts d’esprit. Ils eurent des triplés, Wilwarin, Emma et Emmet qui est mon père. Wilwarin est resté un célibataire endurci, s’intéressant plus au travail qu’aux femmes. Emma a eut une fille Shenae, qui est dans ma promotion. J’aime beaucoup ma cousine et vous ne savez pas ma joie de retrouvez quelqu’un de ma famille. Emma s’est marié avec Remi Rivers, un travestit que je n’ai pu rencontrer que lors de ma petite enfance. Il vit maintenant seul avec She, Tatie Emma est morte de maladie. Et puis Emmet, mon père s’est marié avec Elisabeth Bird. Ils eurent deux enfants, moi et ma sœur. Mais j'arrête ici car maintenant commence mon histoire.
Mes parents se sont rencontrés dans une librairie, ils voulaient tout les deux le même livre et aucun des deux ne voulaient le lâcher. Finalement, un inconnu en profita pour le prendre pendant qu’ils se disputaient. Ils étaient tous les deux particulièrement énervés contre l’autre, mais le destin avait décidé de les réunir et les firent se voir de plus en plus souvent. Ils mirent du temps à comprendre, mais ils tombèrent amoureux l’un de l’autre et étaient dans les bras de l’autre avant de le comprendre. C’est beau n’est-ce pas ? Mon père demanda ma mère en mariage sur une patinoire. Je n’ai jamais compris leur attrait pour ce sport, je déteste ça, bon d’un autre côté cela est peut être parce que je ne tiens pas debout et je ne suis aucunement gracieux. Or ça nuit fortement à mon image. Ils se marièrent donc et eurent une petite fille, Serena. Puis peu après, ce fut mon tour de naître.
Bien que je fus présent, je serais incapable de vous raconter si ma mère n’avait pas pris tant plaisir à me raconter le jour de ma naissance. C’était un matin de 1 er décembre. Il avait neigé toute la nuit et maintenant un manteau blanc et pur de neige recouvrait le monde. Un monde où la douleur, la violence n’existait pas. Lorsque j’ouvris mes deux yeux noisettes, je suis presque certain que j’étais terrifié du monde qui m’entourait. De tant de personnes autours de moi. Je criais à plein poumons, souhaitant retourner d’où je venais. Puis j’ai rencontré les yeux de ma mère, un regard où l’amour maternelle était omniprésent. Elle me prit dans ses bras et me murmura des mots pour me rassurer. Elle savait que j’étais terrifié même si je ne lui avais pas dit. Puis ce fut le tour de mon père d’arriver avec ma grande sœur. Mon père était hésitant, il ne savait pas réagir avec moi, cependant, lorsque mes petits doigts se refermèrent autours de la main qu’il me tendait, un lien unique se forma entre nous. Puis ce fut le tour de ma grande-sœur. Elle avait les mêmes yeux que ma mère. Ils brillaient d’amour et de joie.
Je n’ai de mon passé que quelques photos. Cependant elle donnait l’impression que j’avais une vie plus qu’heureuse. On me voit regarder avec intérêt ma mère cuisiner. Cette passion a dû apparaître dès mon plus jeune âge. J’ai quelques bribes où elle me disait ce qu’elle faisait, où bien me donner des conseils. Ma mère aimait cuisiner, car cela faisait sourire les gens et les rendait heureux. Moi aussi je souhaite rendre les gens heureux, qu’ils se mettent à sourire bêtement quand ils goûtent mes gâteaux et qu’un agréable souvenir leur reste toujours en tête. Le soir, ma mère venait me border et me chanter une douce berceuse après m’avoir lu une histoire. S’était toujours la même chanson, cependant je n’arrive pas à m’en souvenir. Cela est si frustrant. Je voudrais tant pouvoir l’entendre à nouveau… Et puis il y avait mon père. Un homme qui ne savait pas trop comment se débrouiller avec les enfants, mais qui était le meilleur père qui existe dans ce monde. Il me prenait souvent sur ses épaules pour m’emmener dans le parc où je rencontrais d’autre enfant avec qui j’avais la chance de pouvoir m’amuser. Il aimait m’apprendre à faire du vélo, me raconter des bêtises et puis surtout était fier de chacun de mes « exploits ». Que ce soit un simple gribouillage ou une bonne note à l’école, en passant à mon premier baiser, enfin à mon âge on appellerait plus ça un bisou. Ah mon premier baiser. Je l’ai donné à une adorable petite fille, elle était vacance et ne connaissant personne, elle était totalement perdue. Déjà à l’époque j’étais très galant et après lui avoir offert une modeste fleur, je lui ais proposé de lui faire visiter le terrain de jeu. Je ne sais pas si on peut qualifier de ce qui m’arriva de l’amour, mais à l’époque j’étais certains d’en être amoureux. Malheureusement, je lui avouai trop tard mes sentiments et ne put que l’embrasser avant son départ. Le lendemain je recommençais la même chose avec une petite nouvelle. Non, je ne devais pas être amoureux. Ce genre d’aventure amusait ma grande sœur. Grande sœur qui était bien particulière, car il arrivait des choses étranges autours d’elle parfois. Cela arrivera quelques années plus tard pour moi. Ma grande sœur, que j’appelais Sery, aimait beaucoup jouer avec moi. Contrairement à moi, elle n’était pas très populaire. Je ne comprenais pas, car pour moi, il n’existait pas de fille plus belle, plus intelligente, bref plus parfaite qu’elle. Encore aujourd'hui, elle est le modèle de la fille parfaite que je recherche.
Lors de l’année de mes quatre ans, mes grands parents paternels me firent la surprise de m’emmener à Paris. Ils savaient que j’avais toujours rêvé d’y aller depuis que j’avais vu le bossu de notre dame. Malheureusement, ils me sauvèrent aussi la vie. Mon voyage fut écourté par une annonce terrible. Mes parents étaient morts et ma sœur avait disparu. On ne comprenait pas ce qui était arrivé et même si on me cachait ce qui se passait, je comprenais que quelque chose d’horrible et anormal s’était passé. J’ai eut du mal à comprendre ce que cela signifiait mes parents morts ou que ma sœur avait disparu. Je ne fus donc touché seulement lorsque j’appris que jamais je ne pourrais les revoir. Qu’ils partaient très loin de moi, qu’ils me laissaient seul ici. Je leur en voulu, terriblement. Par chance, j’étais entouré par une famille aimante qui m’expliqua qu’ils n’avaient pas le choix et qu’ils auraient souhaité rester auprès de moi. Des recherches furent lancées pour retrouver Sery, mais abandonnées trop vite à mon goût. Après cet évènement je me suis renfermé sur moi-même, dans un mutisme dont je refusais de sortir. Mes grands-parents décidèrent de s’occuper de moi et déménagèrent à Paris. Ils voulaient que j’oublie l’Angleterre et ses évènements tragiques. Et ils avaient surtout peur de ce qui pourrait m’arriver. Ils ne savaient pas ce qui s'était passé, mais ils savaient que s’était trop anormal pour que ce soit quelque chose qui appartienne à leur monde.
Même si je vécus à Paris, mes grands-parents tenaient à ce que je garde mes racines anglaises. Et je parlais donc chez eux qu’en anglais, mais dès que je sortais s’était le français qui me venait immédiatement à la bouche. Cependant, je restais toujours renfermé sur moi-même et l’apparition de mes pouvoirs rendait la chose encore plus difficile. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait et essayer de le cacher du mieux que je pouvais sous le regard attristé de mes grands-parents. Ils avaient compris que s’était la même chose que ma sœur, que j’étais comme elle. Se sentant désespéré, ils recherchèrent quelqu’un qui pourrait m’aider. Ils se tournèrent vers un ami anglais qui avait lui aussi déménagé en France, Dewee.X En fait, il comprit ce que j’étais lors d’une visite chez nous. Un nouvel évènement étrange était arrivé, cette fois-ci s’était le petit koala que Serena m’avait offert qui faisait des petits couinements. Vous savez le genre de couinement que fait un jouet en caoutchouc pour chien. Il le comprit lorsque ma grand-mère se demanda à voix haute pourquoi une peluche cousinait alors que d’habitude elle ne fait pas un seul bruit. Il leur posa alors quelque question et à la fin de son interrogatoire, leur annonça que j’étais un sorcier. A l’air des mes grands parents, tout s’éclaircit alors. Ils lui demandèrent alors s’il savait quelque chose aux étranges évènements qui étaient arrivés à ma sœur. Bien entendu qu’il le savait, s’était un mangemort. Pas des plus fidèle, il avait rejoint le Lord plus pour avoir des esclaves et une bonne position qu’autre chose. Cependant, il eut pitié et leurs dit la vérité, mais qu’en partit. Il annonça que mes parents avaient bel et bien étaient assassinés, mais pas que Serena était maintenant une esclave.
Dewee revint régulièrement, au début s’était simplement pour m’éduquer sur le monde magique, peut être pour avoir la confiance de mes grands-parents et pour voir me ramener en Angleterre pour que je sois un esclave, mais non. Il s’attacha à moi et moi à lui. Petit à petit je sortais de mon mutisme, je commençais à voir en lui le père que j’avais perdu. Il se mit alors en tête de parfaire mon éducation galante aussi. Il m’apprit l’art et la manière d’être agréable à une jeune fille, me donna des cours de piano, de peinture, mes grands parents voyant que j’aimais ce genre d’enseignement m’offrir des cours de danse. Ainsi j’appris la valse ou encore le tango. Malgré la connaissance de ma nature magique, je continuais à fréquenter une école moldus. Ce fut là-bas que j’appris à user de mon charme auprès des filles, je les aimais toutes, elles étaient toutes belles à mes yeux. J’aimais tant leur offrir des fleurs, de leur dire des douces paroles, de voir leur regard admiratif, énamourés posé sur moi. Je recherchais en chacune d’elle la fille parfaite. Malheureusement, aucune n’arrivait à la hauteur de ma sœur. Cela m’attristait un peu, mais mes amis m’encourageais et m’assurait que je trouverais un jour la fille parfaite. Ah mes amis, une bande de garçon tout aussi beau et intelligent que moi. Nous avions chacun un genre différend. Bien à nous. Et bien entendu, nous faisons craquer toutes les filles.
Alors que j’atteignais l’âge de mes neuf ans, une tragédie survient. La mort de mes deux grands parents. Oh ils n’ont pas eut d’accident, ni de maladie et ne se sont pas non plus fait assassiner. Ils sont tout simplement morts de vieillesse. Cependant, ils s’aimaient tellement que la mort n’a pus les séparer et ils sont morts en même temps, dans leur lit, heureux pour l’éternité. Je trouvais ça à la fois beau et triste. Beau, car c’est ce genre d’amour que je recherche, mais triste car je comprenais maintenant ce que signifiait mourir. J’ai pleuré, beaucoup pleuré. Des souvenirs me refaisaient surface, mon grand père m’emmenant au cinéma, ma grand-mère m’apprenant à cuisiner. J’avais peur aussi, je ne voulais pas aller à l’orphelinat, je ne voulais pas non plus aller chez des inconnus. Logiquement, j’aurais dû aller chez mon oncle ou chez ma tante. Mais Dewee s’était débrouillé pour m’avoir à sa garde. Le considérant comme un père, je ne m’en plaignis pas, j’en étais même heureux. Il me ramena en Angleterre où il me présenta comme son fils adoptif. Avant, il me dit de bien dire que mes parents étaient sorciers, cependant il refusait de m’expliquer pourquoi. En bon garçon, j’acceptai sans trop poser de question et continua donc mon éducation.
Mon nouvel habitat me plaisait. J’aimais beaucoup vivre dans ce grand manoir avec ces elfes de maisons et ces serviteurs. Rapidement, je m’habituais à cette vie de riche et considérait ceux qui possédait moins d’argent que mon père (car s’est ainsi que j’appelais Dewee maintenant) comme des prolétaires. Cependant, je n’étais pas et je ne le serais jamais méprisant avec eux. Au contraire, s’il était simple de se montrer plaisant avec des femmes de mon monde, je craignais de me faire rejeter par celle appartenant au prolétariat. Oui, cette vie était tout simplement parfaite, je vivais dans le luxe et aimait ça plus que tout. Un claquement de doigts et j’avais ce que je voulais. Ma seule tristesse était que je voyais Dewee seulement une fois par semaine, en effet être le chef de la mafia s’est pas de tout repos. Normalement, se sera moi qui devrai reprendre sa suite. Cependant je ne sais pas trop, je préfèrerais devenir un grand pâtissier de renommé mondiale. Je n’aime pas la violence ou gérer ce genre d’affaire. Et malgré tous les professeurs de duel que Dewee a engagé, je n’ai jamais réussit à me battre. Cela toujours déçu.

Cependant lui aussi il m’a déçu. Lorsque j’ai reçu ma lettre de Beaubatons. Certes, il était heureux, mais il a pris ce jour là la décision de m’avouer la vérité sur certains « serviteurs » et sur ma sœur. C’est ainsi que j’appris qu’elle était tenu en esclavage. Ma première pensée fut bien entendu d’aller la libérer, mais un stupifix bien placé et j’ai compris que je serais incapable de le faire. J’en voulu à Dewee de m’avoir caché la vérité, de n’avoir rien fait pour ma sœur. Cependant, il m’a promis qu’il essaierait de l’acheter à son propriétaire pour que nous soyons de nouveau réunis. Je l’avais même accompagné lorsqu’il a fait la démarche. Mais le maître de ma sœur était un horrible bonhomme qui se disait particulièrement attaché à elle et refusait de la vendre. J’ai cependant pu la voir. Elle avait terriblement changé. Je ne la reconnaissais plus, elle non plus d’ailleurs au regard remplis de dégoût qu’elle me jetait. Je n’ai pas pu prononcer un mot, j’étais trop sous le choc. Je m’en veux terriblement encore aujourd’hui de n’avoir rien su dire. Après ce jour, j’ai pris la décision de mettre mes rêves de pâtissier de coter et de reprendre le clan de Dewee lorsqu’il prendra sa retraite. Bon, j’ai encore besoin d’apprendre à me battre, je déteste toujours autant ça. Cependant, les cours n’ont pas été inutiles. En effet, j’étais tombé amoureux d’une adorable jeune fille qui se faisait persécuter sans pitié par un serviteur qui n’avait aucun respect pour moi. Sans attendre, je l’ai défié en un duel d’épée. Il était doué le bougre, mais j’étais prêt à me battre jusqu’à la mort pour l’honneur de ma belle. Finalement, ce fut le majordome qui fit cesser le combat. Je ressortis avec quelques blessures, le serviteur avec un renvoi. Dewee était fier de moi et su qu’un jour il arrivera à faire de moi un véritable chef.
Et puis arriva le jour où j’arrivai à Beaubatons. Mon premier étonnement fut qu’il y ait autant de prolétaire. Mais je réussis à m’y faire rapidement et je m’intéressai même à leur monde pour essayer de comprendre comment ils faisaient pour survivre sans argent. Je connaissais déjà quelques trucs, comme le café instantané, ce n’était pas si mauvais d’ailleurs ou encore le fait que certains n’avaient pas de serviteur pour leur servir le petit déjeuner au lit. Cela fut d’ailleurs très dure lorsque j’appris que je n’aurais pas mon petit déjeune au lit à Beaubatons. Normalement, je ne sorts pas avant d’avoir bu mon café instantané (bon d’accord je l’avoue c’est devenu ma boisson favorite), mon jus d’orange juste pressé, mes œufs frais brouillés avec de la canelle et mes toast fait maison. Sauf s’il y a un brunch, alors là bien entendu j’accepte de me lever. Mais sinon c’est imaginable ! Et pourtant, cela fait six ans que je fais ça. Il y a des cours que j’aime, d’autre moins. Dans l’ensemble mes notes sont correctes et mes professeurs m’apprécient. Mais le truc le plus chouette il y a taaaaaaaaaaant de jolie fille à séduire.
Je me demande s’il y aura des esclaves. A Beaubatons ce n’était pas le cas, étant donné que seule ma famille en avait et encore nous les traitions en tant que serviteur et non esclave. Nous allions même jusqu’à les payer ! D’après mon père ce n’est pas le cas en Angleterre, on les maltraite… Même les jeunes filles ! C’est une honte ! Comment peut-on maltraiter pareilles merveille de la nature ! Ces délicates roses doivent traités avec respects, avec amour… On les maltraite dans les romans, pas dans la vrais vie ! Enfin. Il faudra que j’évite de dire ceci, il parait que c’est très mal vu…

Mon physique si parfait ;

Sans vouloir me vanter je suis divinement beau. Beaucoup de filles vous le dirony, mais c’est parce que je m’occupe beaucoup de mon physique et j’y porte une attention toute particulière. Je pourrais vous dire "regardez la magnifique image me representant" mais la joueuse en a pris un où je ne suis guère visible. [Tu vas voir si ton corps sera toujours aussi beau après que je t’aurais envoyé la petite vérole, suivit de la peste noire et heuuu a une brulure au troisième degré ça serait chouette non ? ^^] O.O Je rigolais ! Bien entendu ! Ma joueuse est géniale. (Sauvez mooooooooooooooi !)

Bon, alors je vais commencer avec mon visage si parfait. J’ai un visage plutôt fin, mais pas androgyne non plus, qui se termine ou commence (tout dépend d’où vous commencez) par un menton légèrement pointu. Si vous remontez, vous aurez la chance de voir deux lèvres fine d’une rare brillance et beauté. Toutes les filles craquent quand elles s’étirent en un doux sourire romantique pour montrer un alignement de dents parfait. Cependant, ce n’est pas non plus un sourire freedent. Ah non ! C’est mon sourire à moi, il y cache un petit air sauvage, mauvais garçon, romantique et mystérieux. Continuez à monter un petit peu et là vous tomberez sur un nez… Hum comment dire. Banal… eh oui, il y a quelque chose de banal dans mon physique si parfait, mais c’est fait exprès ! C’est pour que les autres garçons ne soit pas jaloux de moi. Même s'ils le sont rien qu’avec mon incroyable personnalité. Si vous remontez encore, vous croiserez deux magnifiques yeux de la couleur des noisettes. Des éclats dorés les illuminent ! Une intelligence, de l’amour, de la beauté, du mystère tout ça est réuni dans cette paire d’yeux qu’est la mienne ! [Merlin, j’aurais jamais dû le laisser se décrire lui-même !] Si vous remontez encore, vous pourrez voir des sourcils, pas trop fins, car il me faut un côté un peu masculin, rustre.

Je vous propose de continuer par ce qui entoure mon visage. Mes cheveux ! Ah mes cheveux ! Ils sont blonds foncés, parfois plus clairs, cela dépend comment le soleil souhaite jouer avec. Toujours parfaitement coiffé, j’y apporte une grande importance. Par exemple, j’y applique des masques pour qu’ils ne s’emmêlent pas, qu’ils soient brillant et doux. Le matin je suis aussi très attentionné au moment de les coiffer. J’aime leur donner un petit air décoiffé qui doit avoir l’air naturel et faire le beau gosse venant sortir du lit. Mais en fait c’est fait exprès ! C’est une technique qu’un expert de la coiffure m’a apprise [En réalité il est toujours en retard le matin et ne se coiffe jamais >.>’] Quoi ! Mais c’est faux ! J’y apporte les meilleurs soins qui puissent être apporté à une chevelure.

Je pourrais continuer à vous en parler, mais ma joueuse en a décider autrement. Pff. Je vais donc continuer avec mon physique d’apollon. Ah non ! Là c’est trop ! Elle est littéralement explosée de rire ! [Mouhahaha c’est juste que Mouhahaha j’ai jamais mouhahaha entendu mouhahaha pareil ha haha bêtise ! ] Je vais me plaindre aux personnages maltraités ! [Nan mais si tu fais je t’envois Lily en lui disant que tu as essayé de draguer son tendre =p] Bon ben heu j'ai rien dit ! Je vais continuer alors… bon certes je n’ai pas un physiques d’appolon. Je suis asse androgyne, très fin pas beaucoup de muscle. Cependant je sais très bien valser ! C’est d’ailleurs le seul sport que je pratique. Vous comprenez le sport ça fait transpirer et il y a rien de pire. Je suis donc asse fin, mais un peu musclé tout de même. [Ouais si on cherche avec une loupe B3] Mais heuuuuuuuu ! Sinon pour mon style d’habit c’est asse banal, smoking, jean, tenu décontracté fait sur mesure, c’est tout… [Très banal hein >.>]

Mon caractère tout à fait charmant ;

Bien il est temps que je vous décrive le beau gosse que je suis. Je possède un caractère parfaitement agréable, cependant, il serait prétentieux de ma part de le décrire tel qu’il est véritablement, c’est-à-dire parfait. Je vous propose la lecture de quelques témoignages.

Témoignage n°1 – « Aaaaaaaah, ce garçon est un véritable gentleman, toujours une belle parole, une fleur à offrir, han il est tellement romantique. Je me souviens que lorsque nous sommes sorties ensemble, il m’avait préparé un repas tout à fait charmant, c’était mon plat préféré des lasagnes au saumon et elles avaient la forme d’un cœur. Et puis il avait mis une petite rose pour décorer. Et notre rupture aaaaaah, quelle rupture, il était obligé de partir à la guerre et refusait que je me fasse un sang d’encre pour lui ! Vous comprenez, il risquait de perdre la vie et donc je ne devais pas perdre ma vie à l’attendre. Mais je l’attends ! Et je l’attendrais encore et encore. »

[Genre t'es allé à la guerre toi ?] Ben non... mais ça fait toujours bien comme rupture !

Témoignage n°2 – « Nous avons eut la chance d’être la Juliette de James. Cependant comme nous sommes jumelles et qu’il ne pouvait se résoudre à choisir, car il ne voulait pas blesser ma sœur, non c’est toi qui ne voulait pas blesser ! Qu’est-ce que tu racontes ! C’est moi qu’il aimait ! Il a dit que j’étais la plus belle créature que la Terre n’est jamais porté ! tss, moi il a m’a dit qu’il m’épousera un jour, quand il sera digne de mon statut de princesse de beauté que je suis ! »

Témoignage n°3 – « Yosh ! Je suis la grande sœur de cet imbécile et à ce que je vois il n’a pas changé toujours aussi séducteur. Faites attention il n’est pas amoureux ! Il trouve simplement les filles belles et c’est simplement ce qu’il l’intéresse. Ah et ne vous étonnez pas s’il fait des mises en scène très théâtrale. Il est comme notre cousine She. Sauf que lui il va vous rajoutez des effets spéciaux qu’il sort d’on ne sait où. Et franchement il a la tête plein de rêves, mais je ne compte pas sur lui pour les réaliser... Du style qu’il va me libérer un jour, on y croit tous…>_>»

Témoignage 4 – « Bon je vais faire rapide, car j’ai pas le temps. Hum, c’est un garçon intelligent, très émotif et particulièrement touchant. . Il est facilement manipulable tout de même, un peu naïve… Mais les filles trouvent ça mignon d'après lui et que s'est donc fait exprès ! Au moins il essai de se rattraper... Bon par contre il n’est pas tout courageux, il est plutôt du genre au contraire à fuir les combats. Sauf qu’il s’agit de protéger un être chère enfin si cet être cher est une fille, alors là il va dans le combat, il va se ramasser en beauté, mais il fonce direct ! Je pense qu’il fera un bon successeur, enfin s’il oublie son rêve niais de devenir un pâtissier de renom. Franchement, on aura tout entendu ! »

Témoignage 5 – « Oh c’est à moi ? Bien je suis la gouvernante de Monsieur Romeo, c’est un garçon très paresseux ! Il attend que tout lui soit fait ! Sauf la séduction. Cependant, il a le cœur sur la main et il est particulièrement fidèle. Vous ne le verrez jamais briser une promesse. Sauf celles qui ne l'arrangent pas. Oui, c’est un garçon bien, si on oublie son narcissisme imposant et son égocentrisme ! Il veut toujours être au centre de l’attention quoi qu’il arrive. »
Bien heu… merci
Témoignage 5 – « Vous saviez qu’il était tête en l’air et qu’une fois il est allé en pijama jusqu’à la gare de King
Cross ? »
Noooooooooooon, ne racontez pas ce chapitre humiliant de ma vie !
Témoignage 5 – « Ah et il dort avec une peluche, c’est mignon n’est-pas ? »
Ma réputation est foutue…

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