invitation spécial...

J'avais laissé un mot sur la porte d'Hanaë qui disait:

Chaton, je t'attend pour midi au restaurant de la ville, j'espère que tu viendras je suis sur que nous avons plein de truc a nous dire! je n'ai pas pour habitude d'attendre alors s'il te plait ne soit pas en retard! je n'ai pas encore choisi si je te laissé vivre ou pas! Et ou que tu ailles je te retrouverais et te tuerais! mes salutation les plus sincères!

Eden

je m'étais assise a une table j'avais commandais un verre de vin du "St Emillion" un rouge vraiment excellent. J'avais mis un robe blanche courte, je m'étais maquillé mon rouge lèvre rouge sang me fessait pensé que je venais de me nourrir. Autour de mes yeux j'avais appliqué du crayons noir qui les mettaient vraiment en valeur et fessait ressortir la blancheur cadavérique de ma peau! j'avais mis mes doc martens noir montante qui étais mes préférés.
ça fessait une semaine que je ne l'avais pas revu! je me suis demandé a plusieurs reprises ce qu'elle pouvait bien pouvoir faire. Elle n'avait pas essayé de s'échapper alors que je lui avais foutu une de ses peurs. C'était vraiment une fille courageuse j'espère vraiment qu'elle viendrais je n'avais plus vraiment envie de la tuer je voulais m'amuser le plus possible avec elle.
j'étais vraiment exister je voulais la revoir.

Je me levai un matin, ou plutôt un midi. Je m'étais levée en retard. J'avais fait la fête la veille. Rah là là. Je mis en vitesse une robe et allai partir lorsque je vis, en sortant, une feuille sur ma porte. Je la pris, le coeur battant la chamade. La dernière fois que j'avais eu un mot chez moi ça avait été une horreur. Je n'avais pas dormi pendant deux jours.

Chaton, je t'attend pour midi au restaurant de la ville, j'espère que tu viendras je suis sur que nous avons plein de truc a nous dire! je n'ai pas pour habitude d'attendre alors s'il te plait ne soit pas en retard! je n'ai pas encore choisi si je te laissé vivre ou pas! Et ou que tu ailles je te retrouverais et te tuerais! mes salutation les plus sincères!

Eden

J'en tombai à la renverse. J'allais m'asseoir sur mon lit, surprise. Non, je ne voulais pas la revoir. Puis ma curiosité prit le dessus et je pris mon sac et allai dans le restaurant en question. Je regardai les tables et vis Eden. J'allai m'installer devant elle et lui souris d'un air de défi.

- Heureuse de te revoir.

Je lui lançai un regard mauvais en restant devant elle.

- Que veux-tu ?

Elle s’installa devant et me souris du défi dans son visage. Elle me dit qu’elle était heureuse de me revoir. Quel mensonge, dommage qu’elle ne savait pas comme moi j’étais heureuse de la revoir. Un regard mauvais, comme quoi elle ne change pas ses manières. Ça me fessais plaisir j’avais l’impression qu’elle était comme ça que pour moi et j’en étais honoré.

« - je t’en pris prend place ! Veux-tu quelque chose ? C’est moi qui t’invite ! »

Je pris une gorgé de vin et l’observa.

« - Chaton, j’ai tous mon temps ! Alors tu prends place ou je vais être obligé de te faire prendre place moi-même ! Même si c’est devant tous le monde sache que ça ne me dérange pas le moins du monde et que la plus part des gens ni verrons que du feu ! »

Elle hésita.

« - Chaton ! S’il te plaît ne fais pas un scandale devant tous le monde ! J’ai choisi un endroit public exprès pour que tu te sentes en sécurité ! Qu’es ce que tu risque en plein jours avec des centaines de gens autours de toi ? »

Je la regardai, soupirai et m'assis. Je la détestais. Ce n'était pas une nouvelle. C'était depuis la première fois que je l'avais vu. Je la défiai du regard puis le baissai sur sa boisson. De loin on aurait dit que c'était du sang, mais de plus près on voyait que c'était du vin. Elle était maquillée d'une façon bizarre.

- Je veux bien un chocolat chaud.

Je la regardai dans les yeux et attendis... le dégel. Je me calai au fond de mon siège et la regardai dans les yeux, nulement impressionée. Je la regardai puis baissai le regard.

- Tu veux quoi ? Je t'ai pas assez donné de moutarde la dernière fois, tu en reveux ?

Je la regardai et souris d'un air amusé. Amusé par son maquillage. Elle voulait vraiment se donner un air ! Je vis le serveur donner mon chocolat chaud et je le remerciai. Je pris une goutte de mon chocolat chaud et le posai, me réchauffant les mains avec. J'étais gelée.

Elle s’assit enfin et commanda un chocolat chaud. Boisson qui ne collait pas avec l’image que j’avais d’elle après tous elle était en danger permanent avec moi, mais elle me provoquait dès la moindre occasion. Elle avait l’air d’avoir froid ! je me demandais bien ce qu’elle peu avoir.

« - oui, j’en reveux ! Vois-tu tu m’as bien amusé ! Et dans ma longue existence ça fait des années que je ne m’étais pas autan amusé ! Tu as l’air d’avoir froid ! Es tu malades ? » Lui demandais-je inquiète.

Même si je ne pensais pas qu’elle me réponde gentiment, mais plutôt qu’elle m’enverrait bouler comme d’habitude !

Elle me demanda si j'étais malade. Je la regardai dans les yeux, aucunes pensées en tête. Pourtant, je lui dis d'un ton sec et tranchant :

- Beaucoup moins que toi.

Je lui lançai un regard acerbe et bus mon chocolat chaud. Il me brûla la gorge mais ça fit du bien de boire un peu. Je la regardai.

- Tu veux t'amuser ? Une semaine après ? Ne penses-tu pas que j'ai des choses plus importantes que ça à faire ? Et puis je ne vois pas pourquoi je t'amuserai, ni comment. Car vois-tu je n'ai plus de réplique pour te remballer. Désolée ma vieille, tu devras attendre un mois.

Je finis par hausser les épaules et boire mon chocolat chaud. En quelques gorgées il fut vide. Dommage. Je ne pus plus réchauffer mes mains alors je les mis entre mes jambes pour pouvoir les réchauffer. J'avais quitté la chaleur de mon lit même pas quelques minutes auparavant. Ça faisait bizarre j'avais l'impression d'être dans un rêve.

Beaucoup moins que moi ! Son sens de la réparti était magnifique ! J’avais encor droit à son fameux regard acerbe.

« - Que tu es des choses plus importante à faire je ne sais rien et je m’en fou ! Qu’es ce que ça peu me faire ? Tu as un sens de la réparti hors norme et tu ne réagis pas comme la plus part du commun des mortels ! J’essais de comprendre ! Quand on a vécu autan que moi on commence a s’ennuyé et il est de plus en plus difficile de trouvais quelque chose d’intéressant ! Mais je suis tombé sur toi pour mon plus grand bonheur et ton plus grand malheur ! Le Ying et le Yong ! Peut-être aurais-je mieux fais de te tuer ? »


Je me commandai un steak. La nourriture avait aucun gout pour moi mais c’étais ce qui me raccrochais a la réalité. Je jouais avec mon couteau. Sans la lâchais du regard observant ses moindres réactions !

Je l'écoutai patiemment et m'appuyai paresseusement contre le dossier de ma chaise. Je regardai Eden prendre un steak et souris. Elle voulait jouer très bien. Je me tus et la regardai. Si elle croyait que j'allais me rabaisser à lui obéir elle se mettait le doigt dans l'œil ! Je la regardai me regarder et je lui souris d'un air farouche.

- Penses-tu vraiment que je vais t'aider à t'amuser comme tu dis ? Je ne suis comme ça qu'avec les gens comme toi ma vamp'. Je peux t'appeler comme ça ? Bref. Jamais je ne t'obéirai, jamais je ne te servirai de jeu. Pour toi je suis peut-être un jeu, nu jouet tout neuf. Mais quand tu seras lassée, je suppose que tu me jetteras. Façon de parler bien sûr. Tu es comme un enfant qui a reçu un cadeau pour Noël. Il joue avec jusqu'à ce qu'il le casse. Je suis ça pour toi ? Ou plus ? C'est vrai, pourquoi tu ne m'as pas tué tout de suite ? Je ne suis qu'une humaine après tout, au sang délicieusement liquide. N'est-ce pas le pourquoi tu vis ? Le sang, mon sang ne t'attire plus ? Dès que je n'aurais plus de répliques à te lancer au visage, tu va me jeter ? Comme un jouet cassé et dépareillé ? Ou tu me garderas au cas où je retrouverai des répliques pour te casser ? C'est ça que tu aimes ? Te faire casser ? Je peux te casser toute ma vie si c'est ce que tu veux. Mais t'amuser je ne vois pas pourquoi je le ferais. Je peux sauver ma vie toute seule.

Je lui lançai un regard noir et commandai un autre chocolat chaud. Je regardai Eden et son steak puis secouai légèrement la tête. Elle me faisait vraiment penser à une gamine qui vient de recevoir un cadeau pour Noël et qui passe son temps avec jusqu'à ce qu'elle le casse. Pff.

Elle me fessait tellement rire le pire c’est qu’elle y croyait vraiment en ce qu’elle disait !

« - Ho chaton ! Tu fais dans la psychologie maintenant c’est mignon ! Il y a une parti ou tu n’as pas tors tous ça est un jeu pour moi ! »

Je lui montrais toute la salle, tous se qui nous entourais.

« - Tout est un jeu, la vie elle-même est un jeu ! Je t’accorde pour moi on peu dire la vie après la mort mais cela c’est juste un petit détail ! Et tu fais parti de se jeu que tu le veuille ou non ! C’est la vie !
A aucun moment je voulais que tu m’obéisses sa n’as pas de sens ! J’aurais procédé différemment et je t’assure que ça t’aurais encore moins plut ! »

Mon steak était arrivé saignant comme je l’aime. Je coupai un morceau et le mis dans la bouche. Si seulement je pouvais sentir son gout. Je fis comme dans mes souvenirs. J’imaginais son gout comme si c’était le gout du sang ! Et un sourire se satisfaction naissais sur mon vissage.

« - tu es la devant moi ! Et même si tu n’étais pas venu crois tu que je t’aurais laissé tranquille ? Crois-tu que tu arriverais à m’échapper ? Chaton la chasse, la traque c’est pratiquement toute ma non vie ! Ça m’existe encor plus que notre joute verbale ! Alors vas-y défi moi, Je t’en pris je n’attends que ça ! »

Je la regardais. Elle foulait faire dans la psychologie alors pourquoi moi je mis mettrais pas un peu aussi.

« - Chaton veux-tu que je te dise ce que je pence sur toi ? Et puis même si tu ne veux pas, je vais te le dire quand même après tous on est en démocratie !
Tu me trouve ignoble de jouer comme ça avec la vie des gens, tu trouve sa répugnant ! Le faite que je sois un danger permanant pour toi de fais prendre ton pied ma belle ! Tu te choute a l’adrénaline !
Je pourrais te tué comme ça en moins de deux, j’ai même failli le faire a notre première rencontre mais au lieu de me demandais ou plutôt me supplié de te laissé la vie sauve tu me provoque a chacune de nos réplique ! Et puis à aucun moment tu n’as essayé de fuir ! Rien que le faite que tu sois la devant moi, prouve se que je dis !
Le danger te fais te sentir vivante, tu a un coté un peu suicidaire mais c’est ce qui fais que tu te sens encor en vie ! Moi je suis comme ça parce que c’est mon côté immortel et que je suis un peu dérangé mais toi pourquoi ?
Et s’il te plait n’essaye pas de me dire des conneries, en me disant que je dit n’importe quoi d’accore c’est un peu tirais par les cheveux mais je sais qu’il y a du vrai dans ce que je dit reconnais le ! »


Je me levai en vitesse vampirique lui griffa la joue pour recueillir un peu de son sang, et me rassis sans que personne ne vous rien. Tendant mon doigt avec une goute de son sang. Je souri et me lécha le doigt devant elle.

Je portai ma main à ma joue. Qu'est-ce qu'il lui avait pris ?! Je la regardai, encore surprise par sa rapidité et lorsqu'elle mit le doigt à sa bouche je grimaçai de dégoût. Elle était dégoûtante de faire ça ! Je pris mon chocolat chaud au serveur brusquement et le renvoyai dans son coin. Qu'il s'en aille s'il ne veut pas que je le tue sur place ! Oh oui je n'étais pas facilement vexante mais là Eden s'était montré plus que malpolie envers moi pendant nos deux rencontres. Et là j'en avais plus qu'assez.

- D'accord. Maintenant je vais te demander une chose. Une chose simple pour des humains mais apparemment pour toi ce n'est pas dans tes cordes. Je vais te demander d'être polie. Pas seulement verbalement, mais aussi dans ce que tu fais. J'en ai ras le bol de tes gestes mal placés et que tu me griffes pour me prouver que tu es plus fortes que moi, je ne l'admets pas. Alors sois tu arrêtes ça, et tu deviens polie un minimum, sois je m'en vais et plus jamais je ne viendrai te voir, ma vamp'. A toi de choisir.

Je lui fis une grimace tout en frottant ma joue. Elle m'avait fait mal en plus ! Je lui lançai un regard noir, bus mon chocolat chaud et attendis sa réponse.

Intéressant, son discourt me fis rire ! bien que je venais de lui montrais que je pouvais la tuer en moins de temps qu’il ne faut pour qu’elle réalise qu’elle soit morte. Elle se vexait d’une petite coupure et de mon impolitesse !

L’ave maria de Schubert passé en fond sonore ce qui me fit perdre quelque minute la notion de la réalité ! Je me laissais emporté par la vois magnifique de Barbara Bonney ! Je fermai les yeux ! Ma main fessais des cercles tous seule dans l’air ! Une larme de sang viens se logé au coin de mon œil et tomba le long de ma joue !
Un bruit me fit revenir à la réalité ! J’essuyai ma joue !

« - Chaton, excuse moi mon impolitesse mais je suis comme ça avec tous le monde pourquoi changé pour toi ? Mais comme tu me le demandes avec tant de volonté je ferrais un effort, mais je ne te garantis rien ! »

Je me coupais le bout du doigt et lui passa sur la joue ! Son regard noir ne me fessait rien !

« - je répares juste ce que j’ai causé ! L’avertis-je. Même si j’avais été polie et moins effrayante a notre première rencontre tu ne m’aurais quand même pas apprécié ! Et je pence que tu n’y aurais même pas fais attention ou tu aurais tous oublié ! Alors que la chacune de nos rencontre est unique comme une nouvelle partition chaque jour ! On ne sait jamais comment ça va se passé, n’es ce pas magnifique de vivre dangereusement ? Ce n’est pas ce qu’il y a de plus stimulent ? L’adrénaline, les battements de cœur qui accélère, le doute permanant n’étais pas sur a cent pour cent de vivre a la fin ? »

Je la regardai dans les yeux, fronçant les sourcils. J'en avais eu assez de danger dans ma vie, ce que je voulais c'était avoir une vie normale dans un lieu normal avec des gens normaux. Point. Je ne voulais pas de doute permanent dans ma vie. Je voulais rester une jeune femme normale. Point. Je la regardai dans les yeux. Qu'est-ce que j'en avais à faire de ce qu'elle me réparait ? Je n'avais jamais voulu la rencontrer, jamais voulu la revoir. Je n'avais jamais voulu la connaitre. Je n'avais jamais voulu savoir ce qu'elle était, et pourtant je le savais, je l'avais vu, rencontré. Mais pourquoi ? Qu'est-ce que cela pouvait changer dans ma vie ? Juste me contraindre à la revoir à chaque fois. Je lui lançai un regard noir. Ce n'était pas dans mes habitudes d'être comme ça. D'habitude j'étais gentille, aimante, etc. Mais avec elle jamais je ne serai comme ça. Elle m'avait blessé, guéri, re-blessé et reèguéri. Pourquoi ? Pour pouvoir encore s'amuser avec moi ?
Je lui lançai un nouveau regard noir et me reposai sur le dossier de ma chaise. Je regardai Eden et lui fis un sourire.... normal. Enfin un peu de normal dans notre rencontre !

- A part ça, que veux-tu ? Je ne suis aps un jouet nom de Dieu !!!

Je fronçai les souricls, surpris par ma propre phrase. Quelle horreur de dire ça !

Elle devait penser que je divagué carrément. Pourtant elle était la devant moi. Avec ce coté insolant, qui si je n’étais pas admirative lui aurais couté la vie. Et je sais que tous au fond d’elle, elle sait que dans ce que je raconte je dis vrai, et peur elle a peur de ça. Ou alors je suis complètement folle, et je divague complètement, mais sa ne serais pas la première fois, donc je m’en fais pas trop. Je le droit a son regard noir, puis elle se reposa sur ça chaise. Et la j’eu le droit pour la première fois a un sourire plus ou moins normal. Cette fille essayé de passé du coq a l’âne en quelque seconde mais apparemment ça ne lui réussissez pas vu la phrase qui suivi. Elle ne pouvait pas être gentille avec moi. C’était impossible. J’avais l’impression que je la poussais dans ses retranchements, dans une part d’elle-même qu’elle ne connaissait pas, et qui la surprenais. C’étais tous nouveaux pour elle et pour moi ça m’amusé, ça me fasciné. J’ai toujours étais capable de poussé les autres dans une colère folle. Mais elle, elle essayé de se métrisé.

« - Chaton s’il te plais ne jure pas devant moi ! Comment peux-tu être si ignoble envers dieu, il ne t’as rien fais ! Puis si tu continus tu vas devenir aussi malpolie que moi ! Alors que je te le rappelle c’est toi qui m’as fait la remarque d’être plus polie ! Il me semble que c’est sensé être du donnant donnant ? »

Je la regardai dans les yeux. Pour qui elle se prenait ? J'avais essayé d'être polie mais elle m'avait toujours poussé dans mes retranchements. Et puis pourquoi je lui donné une faveur ? Je m'appuyai contre le dossier plus confortablement et la regardai. Je lui fis mon sourire habituel.

- Très bien.

Je la regardai dans les yeux. Plus question de l'amuser. Je repris ma manière d'être, une fille charmante et gentille sans problèmes. Je continuai de la regarder ouvertement tout en souriant.

- Quel est ton problème ? Car tu dois en avoir un, non ?

Je la regardai, mon sourire habituel étant remplacé par un sourire.... bizarre ( ). Je la regardai tout en souriant.

- A moins que tu n'es pas de problèmes et que tu doives aller voir un psy.

Elle essayait de comprendre ou je ne sais pas quoi. Son sourire sa façon de me regardais essayé de changé mais je trouvais que c’étais pas gagner. Pourquoi ses humains cherche-t-il toujours à cacher leur sentiment ? Il essayait toujours de paraître aimable, gentil, d’avoir des manières, d’être poli les uns envers les autres alors qu’ils ne se supportent pas. Ils ont une image à faire respecter. C’est tellement inutile, tous ça pour ne pas être seul ! Je pris mon verre de vin et le fessait tourner.

« - le dernier psy que j’ai vue avait dit que j’avait un trouble de la personnalité et que j’étais plus ou moins dérangé ! Mais après il a dit que j’étais parfaitement normal ! Vous savez de nos jours on peu pas vraiment leurs confiances ! »

Je bu une gorgé de mon vin. Je posai le verre sur la table. M’appuyas contre mon dossier et regarda le plafond au dessus de moi. Je souffla un bon coup.

« - ce que je veux ? Je ne sais pas trop ma vie est bizarre je ne sais plus ce que je dois faire ! Je m’ennui tellement, la mort ne me fais plus aussi plaisir qu’avant ! »

Je la regardai et soupirai. Elle était vraiment atteinte celle-là ! Je la regardai dans les yeux et un frisson me parcourut tout le dos. Je me repris et pris cette fois-ci une bière. Je regardai le serveur partir puis mon regard se tourna de nouveau vers Eden. Depuis la première fois que je l'avais vu j'avais compris que j'allais avoir des embrouilles. Mais pourquoi est-ce qu'elle se jetait sur moi ? Est-ce que toutes les personnes ici la connaissaient ? Bien sûr que non. Je la regardai dans les yeux. J'en avais archi marre de devoir me plier à ses quatre volontés.

- Alors pourquoi tu restes ici ? Tu pourrais partir je ne sais où et tuer tous les gens que tu veux. Pourquoi tu restes dans cette ville pourrie ?

Je la regardai et lorsque le serveur apporta ma bière je la pris en lui lançant un regard noir. Il n'avait pas fait assez vite à mon goût. J'ouvris ma bière moi-même et regardai Eden.

- Casse-toi d'ici et va t'amuser autre part ! C'est vrai quoi tu as quelque chose à cacher à part ta véritable nature ?

Je la regardai dans les yeux, toute peur remplacée par de la colère. C'était vrai quoi pourquoi elle restait ici à m'empoisonner la vie ?!

- Et évites à l'avenir de m'appeler Chaton !

La colère un sentiment que je connaissais tellement bien. Pourquoi voulait-elle vraiment trouver un raison a mes fais et geste.

« -chat… excuse moi, ma chérie tu préfères ? Bref qu’importe. Je reste ici parce que je n’ai envie. J’en ai le droit, nous somme dans un pays libre après tous ! Puis cette ville me plais on y rencontre bien des gens intéressent ! dit moi ma belle, tu crois que j’en ai après toi pour une raison spécial ? Tu crois que je ne fais ça que pour t’en mer… t’embêter, restons polie. »

Je me penchai vers elle.

« - crois-tu vraiment qu’il à y a une raison spéciale pour que je ne t’ai pas tué dans la ruelle ? Crois-tu qu’il y a une raison pour qu’on ne se supporte pas ? As-tu des idées ? »

Je la regardai. C'était elle qui m'avait attaqué ! C'était elle qui m'avait suivi ! C'était elle qui m'avait envoyé une lettre ! C'était à cause d'elle qu'on ne se supportait pas ! Je n'avais rien à voir avec ça ! Je lui lançai un regard noir. Pour qui elle se prenait celle-là ? Non je n'avais pas d'idées ! Elle m'avait attaqué peut-être parce que j'étais la seule personne cette nuit-là à être dehors, ou peu importe ! Ce que je voulais c'était qu'elle me lâche la grappe ! Je la regardai dans les yeux en soupirant.

- Tu n'es qu'une vampire folle qui fait tout ce qui lui passe par la tête sans réfléchir. Ou alors tu as un cerveau mais qui ne te sert à rien. Je ne sais pas pourquoi tu m'as attaqué, peut-être parce que je ressemblais à quelqu'un de vulnérable ou quelque chose du genre ! Alors là tu te trompes ma vieille !

Je finis ma bière d'un coup, me levai et sortis du bar. Je savais qu'elle me suivait, mais qu'importe ? Elle savait où j'habitais, alors pourquoi vouloir fuir ? Devais-je encore partir, simplement mparce qu'il y avait une folle qui venait m'embêter à longueur de journée ?! Je lâchai un petit grognement et me tournai vers elle.

Vampire folle on me l’avait dit tellement de fois que ça ne me fessait plus rien. Mais par contre qu’elle dise que je ne réfléchissais pas me vexé. Mon cerveau ne me servait à rien ! C’était outrant ! Elle ne comprenait vraiment rien cette petite. Elle était énervé et elle disait tous se qui lui passé par la tête. Tous se qu’elle m’accusait elle fessait exactement pareil.
Elle finit sa bière d’une traite, se leva et sortis. Je laissai de l’argent sur la table et la suivit. Elle grogna est se retourna enfin vers moi.

« - Bon chaton, arrête de me reprocher se que tu fais, par ce que ça commence sérieusement a me gonflé. Et que ma patience a ses limites. N’oubli pas qui je suis ! »

En prononçant cette dernière phrase mes yeux viraient au rouge. Je me calmai et repris.

« - je pourrais te tuer en moins de temps qu’il n’en faut ! Ou bien même te faire ce qu’on m’a fait ! je pourrai te faire devenir se que tu détestes le plus ! Je pourrais te vendre a d’autre pour qu’il puisse s’amusé avec ton corps et ton sang tu serrais souillé de la tête au pied et tu détesterais le monde entiers. Tu deviendrais exactement comme moi ! »

Je la regardai. Je n'avais pas peur. Qu'elle me tue je n'aurai plus à la supporter ! Je lui lançai un regard dégoûté. Ce que je voulais c'était l'oublier à tout jamais ! Pas lui ressembler ou un truc du genre. Je la regardai :

- Essaie ! Du moment que je ne t'ai plus dans les pattes, ça ne me gêne aucunement !

J'avais crié cette phrase. J'étais à bout de nerf. Je n'en pouvais plus de ses airs, de ses paroles qui m'énervaient. Je voulais rentrer chez moi et dormir. De plus, un mal de tête menaçait. La totale. Je risquais de m'énerver encore plus et de péter un câble pour un rien. Ça ne m'arrivait jamais, mais c'était bien la première fois que quelqu'un me mettait dans cet état là. Je la regardai, les sourcils froncés. Ras le bol de cette folle sans cervelle !

- Lâche-moi ! Je t'ai rien fait ! Qu'est-ce que tu me veux nom d'un chien ? J'en ai ras la cacahuète de tes blagues débiles ! Dis-moi ce que tu veux et je te le donnerai si je peux !

J'avais hurlé cette phrase, tant ma colère était grande. Ras le bol !

Elle commençait a me soulais. Au début je la croyais courageuse. Mais là elle avait la fierté mal placé qui commençaient à me courir sur le haricot. J’avais l’impression qu’elle ne croyait pas du tous de quoi j’étais capable. Pour elle mes menaces n’était qu’illusoire. Elle oubliait que j’étais un Vampire et elle uns simple humaine.

« - je crois que tu ne comprends rien Hanaë ! »

Mon ton étais devenus froid plus aucune trace d’amusement mon visage devient de marbre. Le vent fessait voler mes cheveux. Les gens ne prêtaient aucunement attention à nous. Quelque chose les poussais a passé leur chemin et a rentrais chez eux se mettre a l’abri. Surement l’instinct de survit.

« - tu m’amusais beaucoup au début mais là tu deviens insolente remettre en question se de quoi je suis capable m’insupporte j’ai l’impression que je dois te prouver que je n’envois aucune menace en l’air. »

Un pauvre passant passé par là je le pris et lui tordu le coup en moins de cinq seconde il tomba a terre. Les yeux exorbités. Ne sachant strictement rien de se qui venait de lui arrivé. Pendant se laps de temps je n’avais pas changé une seconde de regardais Hanaë mon visage n’exprimer strictement rien. La mort de cette inconnue ne m’affecté aucunement. Par contre je n’étais pas sur pour elle. Un sourire se dessina sur mes lèvres.

« - il est morts par ta faute ! Mais sache que je vais faire de ta vie un enfer ! »

Sur ses derniers mots je partis. Avant que les gens ne s’attroupent autour du cadavre.

Je regardai le corps à terre. J'étais dégoûtée. Je ne vis Eden partir que lorsque je levai enfin les yeux du cadavre. Je la suivis des yeux, encore super traumatisée. Ce n'était pas la première fois que je voyais des gens mourir devant moi, mais là ! Je lançai un dernier regard au cadavre et suivis Eden. Pourquoi ? Je ne savais pas. Il y avait un lien qui me poussait à la suivre :

- Eden, marche moins je n'arrive as à te suivre.

Je la regardai et courus presque pour être à sa hauteur.

- Je te crois, d'accord. Je... c'est juste que j'ai peur de ce que tu peux me faire. C'est tout.

Je lui pris son bras et la stoppai. Ras la cacahuète de devoir marcher comme une folle pour rester à sa hauteur. Je la regardai dans les yeux, attendant sa réponse.

Elle me suivait qu’elle étrange humain. Elle me croyait enfin. Et avoua qu’elle avait peur de se que je pouvais lui faire. J’avais vu sur son visage le dégout, mais ce n’était pas le premier mort qu’elle voyait peut-être tuer de cette façon oui. Elle me prit le bras et me stoppas je la laissai faire par ce que si j’avais vraiment voulu j’aurai pu lui arraché le bras juste en continuant a marché. Elle me regardait dans les yeux, je voyais qu’elle était pas vraiment consciente de ce qu’elle fessais. Elle était en états de choc, se qui me fis sourire.

« - je viens de tuer un homme de sans froids sous tes yeux et en pleine rue, devant tous le monde. Je viens de t’avertir que je ferais de ta vie un enfer. Et tu ne trouve rien de mieux que de me suivre ! Tu ne cherche pas a t’enfuir ou même a me détruire. Tu t’inquiètes vite fait de se que je peu te faire ! Et après tu dit que c’est moi la folle ! Je ne te comprends pas ! je vois maintenant que tu as peur et que tu prends conscience de se que je suis capable de faire! même si ça n'étais rien comparais a ce que je peu faire!»

Je ne savais pas vraiment ce que je devais faire avec elle. Elle venait de me poussais a bout ! Je n’avait pas vraiment réalisé que j’allais faire ça ! je l’ai fait c’est tous ! je ne savais plus si je devais la tuer ou essayais autre chose avec elle ! ses réaction sont tellement contradictoire que je ne sais plus se que je dois faire. Je comprenais maintenant se que les gens ressentais quand il était en face de moi. Bon sa resté une infime parti de se que je pouvais faire, mais maintenant j’avais une petite idée.

Je la regardai, surprise. C'était vrai ça elle venait de tuer quelqu'un et je la suivais comme un chien à son maîmaître ! Qu'est-ce qu'elle m'avait fait ? Je la regardai. C'était la première fois que je rencontrais un vampire, sanguinaire qui plus est et je la suis ! Qu'est-ce qu'il me prenait pour faire ça ? J'étais malade ? Je posai ma main sur le front pour voir ma température. Mais non je n'étais pas malade. Alors j'avais quoi ? Des envies suicidaires ? Je la regardai et baissai ma main.

- Je... Je ne sais pas...

Je regardai par terre, baissant la tête. Un enfer.... Ma vie un enfer.... Elle était déjà un enfer.... Qu'est-ce qu'il pourrait être pire qu'être une femme en fuite, recherchée par la police, traquée comme un animal errant ? Je relevai les yeux vers Eden et haussai les épaules. A quoi bon vouloir trouver une excuse quand la vraie réponse s'imposait ? Je voulais juste trouver quelque chose à me rattraper si jamais je me faisais attrapé par la police. Car j'étais comme son animal de compagnie à présent non ?

- Et puis m*rde, tu me fais ch*é ! Ce que je veux c'est que tu me lâches la grappe et puis basta ! Ras la cacahuète moi....

Sur la dernière phrase j'avais murmuré. J'avais dit ce qu'il me passait par la tête bien que je ne le pensais pas vraiment. Je ne voulais pas vraiment qu'elle me lâche puisque c'était grace à elle que je me ratachais au présent. Grâce à elle que j'avais trouvé quelque chose pour être sûre de ne pas finir en prison.... Ou était-ce l'inverse ? Peut-être qu'à cause d'elle je risquais de me faire emprisonner ? Je la regardai dans les yeux, attendant sa réaction...

Elle n’est plus aussi résolue qu’au début, sa dernière phrase avait étai murmuré. J’avais l’impression qu’elle réalisé enfin quelque chose mais elle n’était pas encore prête à l’accepter.

« - chaton ! Tu ne sais plus ou tu en es ! Je vais t’expliquer pourquoi je ne t’ai pas tué. Parce quelque chose en toi m’as fait penser à moi ! Peut-être pas à la personne que je suis ! Mais a celle que j’étais ! Tant que je penserais ça je ne te tuerais pas et ne te laisserais pas tombais, tu es en quelque sorte a moi ! Que tu le veuilles ou non ! je me donne le droit qu’as moi d’être la personne qui doit te faire peur, ou te faire du mal sur quelque critère que se soit ! Tu vas me détester, mais il y a quelque chose que je dois comprendre et il y a quand passant tu temps avec toi que je pense que je vais comprendre ! »

Je lui sourit en attenant ses réactions, a quel points se ressemblons-t-on et pourquoi elle est toujours en vie quel facteur chance a-t-elle de plus que moi.